Salut a tous!
A Samarcande, des touristes tcheques m'avaient recommande une guest house a Boukhara. Chez Moubinjon. Quand j'arrive au centre de Boukhara, apres quelques jours de velo sans grand interet, je me renseigne. Apparemment, tout le monde connait Moubinjon! Un homme se propose a m'amener a la guest house. Il m'avertit que Moubinjon est particulier et qu'il n'est pas toujours facile! Lorsque nous arrivons a la guest house, je decouvre un homme d'un age certain qui m'accueille a bras ouverts. Il m'avertit, cependant, qu'il n'y pas forcement le petit dejeuner inclus (ca a l'air de dependre de son humeur...), qu'il n'y pas de douche etc. Le personnage me plait, je decide de rester. Je decouvre un personnage attachant avec qui je partage quelques moment complices. Je me sens chez lui, comme chez moi! Nous partageons des moments de franche rigolade avec lui et Sacha un Ouzbek de passage a Boukhara. C'est tres sympa!
Je passe mes journees, a arpenter les sites historiques de Boukhara, ou a me reposer a la guest house, c'est fou comme la vie de voyage peut etre stressante par moments!
La ville de Boukhara compte des monuments absolument splendides, des pures merveilles. Contrairement a Samarcande, le centre historique n'est pas un ''bunker a touristes''. La vie locale, bien qu'echoppes et hotels y soient nombreux, semble y avoir garder ses droits. C'est quand meme plus agreable de se promener dans des sites historiques ou on entend crier les enfants et ou on voit discuter les viellards, par exemple, plutot que de se ballader dans des sites sans ambiance. De plus, le centre historique de Boukhara est beaucoup plus compact qu'a Samarcande, ce qui le rend plus agreable a visiter. J'ai un reel coup de coeur pour Boukhara.
Bref, je coule des jours paisibles et heureux ici, a Boukhara ou je prends des forces pour la traversee du desert qui va me mener dans un premier temps a Khiva, puis a la frontiere kazakhe.
Je vous laisse, je dois aller au hamam (avec un petit massage...), quand je vous dis que c'est le stress...
A bientot,
Yannik
A Samarcande, des touristes tcheques m'avaient recommande une guest house a Boukhara. Chez Moubinjon. Quand j'arrive au centre de Boukhara, apres quelques jours de velo sans grand interet, je me renseigne. Apparemment, tout le monde connait Moubinjon! Un homme se propose a m'amener a la guest house. Il m'avertit que Moubinjon est particulier et qu'il n'est pas toujours facile! Lorsque nous arrivons a la guest house, je decouvre un homme d'un age certain qui m'accueille a bras ouverts. Il m'avertit, cependant, qu'il n'y pas forcement le petit dejeuner inclus (ca a l'air de dependre de son humeur...), qu'il n'y pas de douche etc. Le personnage me plait, je decide de rester. Je decouvre un personnage attachant avec qui je partage quelques moment complices. Je me sens chez lui, comme chez moi! Nous partageons des moments de franche rigolade avec lui et Sacha un Ouzbek de passage a Boukhara. C'est tres sympa!
Je passe mes journees, a arpenter les sites historiques de Boukhara, ou a me reposer a la guest house, c'est fou comme la vie de voyage peut etre stressante par moments!
La ville de Boukhara compte des monuments absolument splendides, des pures merveilles. Contrairement a Samarcande, le centre historique n'est pas un ''bunker a touristes''. La vie locale, bien qu'echoppes et hotels y soient nombreux, semble y avoir garder ses droits. C'est quand meme plus agreable de se promener dans des sites historiques ou on entend crier les enfants et ou on voit discuter les viellards, par exemple, plutot que de se ballader dans des sites sans ambiance. De plus, le centre historique de Boukhara est beaucoup plus compact qu'a Samarcande, ce qui le rend plus agreable a visiter. J'ai un reel coup de coeur pour Boukhara.
Bref, je coule des jours paisibles et heureux ici, a Boukhara ou je prends des forces pour la traversee du desert qui va me mener dans un premier temps a Khiva, puis a la frontiere kazakhe.
Je vous laisse, je dois aller au hamam (avec un petit massage...), quand je vous dis que c'est le stress...
A bientot,
Yannik